Pensive, le front appuyé à la fenêtre, elle l'attend, rendez vous de dernière
minute , donné par téléphone. Sms laconique, une adresse, un hôtel , un horaire
précis.
Elle attend depuis quekques minutes, qui n'en finissent pas de s'étendre, pour
atteindre bientôt l'heure.
Tant de retard semble indécent, et pourtant ..elel l'attend.
Trop envie de le revoir.
Perdue dans ses pensées solitaires, elle n'a pas entedu la porte s'ouvrir.
D'un pas discret il s'approche, la découvrant le visage presque collé à la
vitre.Son haleine dessine des ovales sur le carreau gelé.
Il observe fasciné ce corps tant espéré.
Leurs rencontres sont espacées.
Pas le choix tous deux liés, les espaces de liberté sont comptés.
Mais il s'est libéré trop envie de la serrer dans ses bras. Cette situation
leur pèse, mais peur de briser le sortilège en brisant ses chaînes qui les
retiennent à leur vie officielle.
Il sait qu'elle a une envie, envie qu'il va exaucer, sans qu'elle sache que ce
sera ce jour.
A pas feutrés il approche, perdue dans ses pensées elle a même occulté les
bruits.
Il tient dans sa main un foulard.
Il approche ses lèvres de son cou, si gracilE et si doux.
Il souffle doucement pour en ecarter les cheveux qui le couvrent, éclatant du
coup la bulle de reverie dans laquelle, elle planait.
Elle sursaute ravie de constater, qu'il est enfin arrivé.
S'apprête à tourner la tête, et se voit passer un foulard sur les yeux.
Doucement sa voix la rassure.
"N'aie pas peur mon ange, je veux tes plaisirs? ce jour? décupler."
Sa voix, douce, l'odeur de sa peau, le souffle chaud sur son cou ..un frisson
de plaisir la parcourt.
Frisson qui prend naissance dans son cou, pour aller caracoler tout le long de
son corps jusqu'aux extremités.
Elle n'a pas peur, dans ses mains est confiante.
Le badeau est noué, il attrappe ses poignets, pour les amener dans son dos,
tout en déposant quelques baisers sur sa peau.D'un cordon lie les deux mains,
elle se veut offerte.
il va réaliser son voeu.
Il s'écarte doucement d'elle, pour la laisser quelques instants sans repères.
Puis de son corps vient se plaquer contre le sien, en ecartant d'un genou ses
deux jambes;
Sa main droite cherche les boutons du chemisier, pour les déboutonner un à un.
La main gauche caresse un sein, puis l'autre, à travers le tissu, il sent les
tétons se tendre, se durcir.
Le chemisier defait , il en ecarte les pans, tout en promenant le bout de sa
langue dans la chaleur de son cou.
Elle gémit déjà.. Il est subjugué de l'éffet dejà produit.
De ses deux mains il attrappe les deux seins qu'il extirpe de leur protection
de tissu.
Il se fait plus rude, les malaxe, les titille, jusqu'à faire sortir un son
presque rauque de sa bouche.
Elle est à sa merci et ne peut que plier devant son désir de la toucher, de la
fouiller.
Ce jeu au départ pour lui plaire, se revele pour lui une vraie source de
plaisir partagé.
Ses mains descendent sur ses flancs, qu'il caresse de mouvements elliptiques.
D'un doigt a peine posé il effleure cette peau herissée.
Son corps dejà se cambre, appellant son membre, il le sent, elle est dejà
presque prête à exploser.
Il n'en revient pas de tant de désir décuplé par ce jeu somme toute très
simple.
Mais elle est en son pouvoir et lui seul va decider du moment et de l'heure où
elle recevra ses hommages.
Le temps va être long pour elle, un supplice orchestré.
Elle va s'en rappeler.
Jamais son corps n'avait émis autant d'appels si sensuels.
Ses mains passent et repassent près de son sexe, sans jamais le toucher, tout
juste une sensation , comme une lègère brise qui viendrait caresser le haut de
la montagne.
Ele exulte, n'en peut plus, appelle de son corps et son âme la main sur son
sexe presque dressé.
Mais il joue à l'envie, et lui laisse espérer un passage qu'il ne fait que
reculer.
Elle se colle à lui, veut sentir sa virilité raidie, essaye de s'y frotter pour
provoquer peut-être .
Comprennant le jeu, il s'écarte, et la retourne d'un tour de main.
La guide jusqu'à la couche.
L'assoit, lui écarte les deux jambes. La deshabille, lui laissant ses seuls
sous-vêtements, puis decide d'enlever aussi le bas.
Il écarte à nouveau les jambes,attrappe son menton d'une main, lui ordonne de
tirer la langue.
Elle s'execute meme si elle se sent ridicule.
Il approche la sienne, la touche, l'aspire, elle essaye de l'embrasser, il
recule, lui dit "c'est moi qui décide, ne prends pas d'initiative, sinon
j'arrête".
Il reprend son jeu de langue, auquel elle ne peut pas participer.
Il descend jusqu'aux seins, les goute un à un, coup de lague, coup dde dent,
elle recule, un mal pour un bien ?
Il a envie de la bousculer un peu, d'aller au bout de ses envies.
D'une chinequnaude il la fait basculer en arrière, sans repères elle a peur.
Mais son dos trouve de suite l'aplat du lit.
Ses jambes sont restées legerement ecartées.
Il recule admire l'entrejambe, la veut plus offerte, attrape une jambe, puis
l'autre les dispose le plus loin possibel, l'écartelant comme pour le supplice
de la roue.
le supplice ne sera pas du cercle, mais de ses mains et de sa bouche.
Il devine deja que son intimité est bien humide.
Elle gémit doucement.
De ses doigts il écarte ses levres, comme un observateur le ferait d'un
spécimen inconnu, preque gynecologiquement.
Tout en maintenant les grands levres ouvertes, il attrappe les petites pour les
ecarter, passe de son autre main un doigt , survolant l'entrée de son antre ,
si humide.
Ses gemissements deviennent des plaintes.
Il avance un peu plus profond ce doigt, qui va fouiller , contourner, caresser,
titiller, la paroi.
Elle implore, veut sa bouche, veut sa langue.
Non, c'est lui qui décide, elle l'a voulu ainsi, il ira au bout de scenario.
Il retire le doigt, pas envie de la voir exploser juste là.
Il se deshabille , et lui dit d'ouvrir la bouche, qu'elle va devoir s'occuper
de lui.
Les mains liées, elle est a sa portée.
Jamais encore sans retenue , elle n'aura subi les assauts de ce membre.
Il exulte deja de violer cette intimité buccale.
Elle ne peut que suivre les assauts repetés, il se complait dans sa bouche, y
pouse et repousse son membre qu'elle ne epeut retenir, jusqu'à la garde elle
doit l'absorber, mais c'est ce qu'elle voulait, lui être entieremeent devouée.
Puis d'un coup elle le sent que si gonfle, il es tpret de jouir.
Il le sait et sort de sa bOuche, pour se camper immédiatement en elle.
Telle une épée, il la pourfend, sans retenue elle le prend, il souLève ses
jambes pour meiux la penetrer, la posseder.
La jouissance est totale des deux côtés.
Ils se retire , defait les liens qui retiennent ses mains, lui demande
d'attendre sa sortie pour defaire le bandeau.
Elle attend sagement, l'entend se rhabiller.
Puis la porte qui claque.
Sans même un baiser.
Un doute l'assaille, etait-ce bien lui ? Et s'il Avait un autre de ses fantasme
réalisé
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